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Col. I.] ………………………………………
10 ………………………………………
Gilgamès ………………………………
si, à ………………………………
au temple ………………………………
un blanc vêtement ………………………………
15 comme un ami ………………………………
Tu ne te frotteras plus de la graisse onctueuse du taureau,
dont l’odeur suave rassemblait (les hommes) autour de toi !
Tu ne dirigeras plus l’arc contre la terre,
car, voici que (de toutes parts) t’enveloppent ceux que l’arc a frappés !
20 Tu ne porteras plus le sceptre en main,
l’ekim [1] te poursuit de sa malédiction !
Tu ne lieras plus à tes pieds des sandales,
tu n’adresseras plus de provocation à la terre !
Tu n’embrasseras plus la femme que tu aimes,
25 la femme que tu détestes, tu ne la battras plus !
Tu n’embrasseras plus le fils que tu aimes,
le fils que tu détestes, tu ne le battras plus !
La terre rugissante s’est emparée de toi,
la sombre, la noire mère, la déesse Nin-a-zu, la ténébreuse,
30 dont le front n’est point revêtu d’un voile brillant,
dont la poitrine ne crie point (?), comme celle du taureau, (sous la piqûre) du taon (?).


[Tab. XII.] ………………………………
[Col. II.] …………………… les(?) son ……
………………………………………
………………………………………
5 ……………………………… son ………
………………………………………
……………………………… son ………
……………………………… ils sont revenus,
……………………………… son ………

  1. L’ekim chez les Babyloniens correspond à l’image (εἰδωλον) des Grecs, à l’ombre (umbra) des Latins.