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Mme Roland. Ce qui reste acquis, ce me semble, c’est qu’elle n’a pas profité de ses faiblesses ; que les deux hommes qui, avant et après Chateaubriand, ont tenu le plus de place dans sa vie, sont assurément moins intéressants qu’elle ; que l’hommage tremblant de Georges Farcy et l’amour impétueux de Chateaubriand ne s’adressaient pas à une personne banale, et que sa véracité ne me paraît pas pouvoir être sérieusement mise en doute[1].

Cl. Perroud.



  1. « J’accepte ce récit, quant à moi, dans ses grandes lignes. » (Maurice Masson, ibid.)