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il se trouvait : « F…-moi la paix. » Je le réconforte de mon mieux et petit à petit, il se ressaisit. Comme je connais par expérience, la façon de procéder de ces messieurs, je lui donne des conseils sur l’attitude qu’il doit prendre et lui fais remarquer combien il aurait tort de se laisser aller au désespoir et

FAC-SIMILÉ D’UN FEUILLET DU JOURNAL ÉCRIT EN PRISON PAR PHILIPPE BAUCQ ET D’APRÈS LEQUEL IL A COMPOSÉ LA RÉDACTION DÉFINITIVE

combien il est nécessaire de garder son sang-froid. Dans l’après-midi, il est appelé à l’instruction, il s’en va bien disposé, maître de lui, ayant presque la crânerie d’un poilu qui s’apprête à se lancer à l’assaut d’une tranchée. Dans des conditions semblables, je suis certain qu’il parviendra à se tirer d’affaire. En effet, je ne le vois plus revenir, il aura certainement été relâché, puisque