Page:Revue des Deux Mondes - 1836 - tome 5.djvu/346

Cette page a été validée par deux contributeurs.
342
REVUE DES DEUX MONDES.

noncé, elle ne se dédit plus. Elle ne flatte qui que ce soit, mais elle ne déshérite jamais personne de la gloire qu’elle a mûrement délibérée.

Et ce point est essentiel, car il sert de fondement aux hommes et aux peuples qui vivent dans le présent. L’histoire n’est plus alors un amusement stérile, une dispense d’agir, mais un exemple, un aiguillon.


Lerminier