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à livrer pour introduire, dans les récits de la vie familière, dans l’expression scénique des passions éternelles, les mystérieuses tragédies que la pensée aperçoit et que l’œil ne voit point.

Cette réaction a déjà commencé d’une façon éclatante dans la poésie personnelle ou lyrique : espérons que le roman et le théâtre n’attendront pas en vain.


George Sand.

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