Infanterie régulière |
300,108 | ||
Infanterie irrégulière |
400,000 | ||
Cavalerie régulière |
227,000 | ||
Cavalerie irrégulière |
273,000 | ||
Artillerie (elle est détestable) |
17,000 | ||
À la suite de l’armée régulière |
30,000 | ||
Officiers réguliers de toutes armes |
6,892 | ||
Officiers de troupes irrégulières |
5,201 | ||
Marine |
32,440 | ||
Les neuf classes de mandarins et employés subalternes |
102,379 | ||
Total |
3,812,257 | ||
Total du premier tableau |
145,456,809 | ||
Grand Total |
149,269,066 |
Outre cela, il faut compter encore près de dix millions de Chinois expatriés à Liou-Kieou, à Formose, dans la Corée, au Japon, en Tâtarie, au Thoubet, au Tourkestan, dans la grande Boukharie et en Arménie ; à Maurice, à Sainte-Hélène et au cap de Bonne-Espérance ; au Brésil et à la Guiane française ; dans l’Indoustan et le Bengale ; dans les royaumes de Siam, d’An-Nam, et dans l’empire birman ; à Malacca et dans la péninsule de ce nom ; à Poulo-Pinang, Singapora, Soumâtra, Bintang, Banca, Lingin et Lingan ; dans les îles de Java et de Sounda ; à Célèbes et aux îles Moluques ; dans l’archipel de Jolo, à Bornéo et aux Philippines ; dans la Nouvelle-Guinée, à Ouaigiou, et jusque dans les îles de la mer du Sud. On en voit même quelques-uns dans quelques capitales d’Europe, telles que Pétersbourg, Londres, Lisbonne, Rome et Paris. On recherche les Chinois dans tout l’orient, car ils sont les courtiers et les meilleurs cultivateurs et ouvriers de ces vastes et nombreuses régions.
Quoique dispersés dans les cinq parties du monde, un