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– i 36; – Coulommiers. – Imp/BAUL BRODARD. mot, en .condamnant certaines doctrines récentes. Les modernistes condamnés se distinguent de Môhler par l’absence de toute tendance romantique, par une certaine sécheresse psychologique et philosophique. Aussi bien, Môhler n’a pas eu d’influence directe sur les modernistes en question. M. Delbos remercie encore une fois M. Vermeil. Il s’est senti avec lui, malgré des divergences inévitables, en véritable communion spirituelle. M. Vermeil est. déclaré digne du grade de docteur avec mention très honorable. religieux n’est pas condamné par des erreurs de nature théologique. !> Môhler. ne considère pas la théologie -comme accessoire et purement adventice. M; Vermeil le reconnait, s’il s’agit du. catholicisme Môhler change de point de vue, quand il parle de la théologie prot’estante; M. Delbos fait enfin une observation^sur le titre de l’ouvrage Môhler et les origines germaniques du modernisme^ Môhler ne peut être considéré comme moderniste que si on prend le mot dans une acception très large; mais il ne l’a pas été, au sens où l’Église a pris ce-