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ments mystérieusement accordés l’un à l’autre, comme deux voix qui se répondent de l’ouest à l’est, aux contins de l’Europe, comme deux flammes allumées sur ses promontoires extrêmes, – flammes ardentes, ondoyantes, qu’attisent et que ploient des souffles identiques et moins faites pour montrer la route que pour éclairer des naufrages. »

Et un peu plus loin (p. 352) : « Que conclure de là [de l’apologétique de Tyrrell], sinon que le christianisme est un poème grandiose et touchant, à côté d’autres poèmes, une symphonie, un langage à la fois subtil et familier, à côté d’autres langages et d’autres symphonies spirituelles ? »

René Berthelot.