travaille comme a sa véritable Un. Décider de la réalité, et pour cela T RÊv. Meta. T. y. – 1897.. ~r a y
LES TROIS DIALECTIQUES
II. – La DIALECTIQUE PRATIQUE. <
Tandis, que la dialecte théorique prend pour objet le « donné », la dialectique pratique s’attache à «’ce qui donne ». Il ne s’agit pas pour elle de. choses déjà, faites, mais de choses à faire. Le pré- ̃ sent et le passé ne Intéressent qu’en vue de l’avenir ; et, si elle doit connaître, c’est afin de produire. En d’autres termes, c’est du monde des voirions qu’elle s’occupe– II est vrai que la dialectique théorique s’en occupe, elle aussi. Du moment qu’elle ! considère < chaque chose à titre de cause et d’effet ; elle se place au point de vue ,> ,>’ de l’avenir aussi bien qu’à celui du présent ou du passé. Le monde .lui apparaît comme réalisant aussi bien que réalisé. Et les causes · v volontaires elles-mêmes ne lui échappent pas. Elle tient compte non seulement des transmissions causales, mais encore des réactions qui surgissent de l’individualité des faits et .qu’elle convort.it, pour son compte, en transmissions causales plus complexes. C’est même • grâce à elle q.ue ces réactions deviennent des volitions et acquièrent une force nouvelle : Car ne faut-il pas pour les volitions.au moins l’idée du futur et celle d’un choix possible pour le futur ? Et ces idées ne sont-elles pas dues aux classifications théoriques ? – Mais voici, la dialectique théorique ne s’occupe pas du « faire » en vue de lui- • -même. Elle le constate, mais elle ne songe ni à le.diriger, ni à l’augmonter. Et, si elle obtient ce dernier résultat, ce n’est oint qu’elle ,rit’’1I’ :J !;t ;Sl~n~.OPJleIiJce~¡3’l’lHep’ëSl.ll~t,e~stYA~ht :qlf~l~e’" ,j le cherche. La modification de la réalité ne saurait être pour elle tout au plus’ qu’un moyen. Au contraire, la dialectique pratique y travaille comme à sa véritable fin. Décider de la réalité, et pour cela ’f’ RÊV. META. T. V. 1RÇI7 «