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LA LANGUE BASQUE EN 1656 D’APRÈS LE CATÉCHISME DE M. 0. DE CAPANAGA La publication de la deuxième édition de ce livre (1), le plus ancien et le plus rare de tous ceux qui nous restent en basque de Biscaye, semble rendre nécessaire de relever les singularités du langage employé la. Avant tout, disons que dans l’impression, qui n’est pas jolie du tout, on remarque, outre les erreurs signalées par le Rédacteur aux pages 86 et CLXIV, les suivantes : p. 7, Marta pour Maria ; p. 84, Norçue, au lieu de Norçuc ; p. 153, çaucu a. 1. d. çauçu ; p. CLXV, ligne 9, ’primer de- vrait être segundo (le premier livre basque imprimé en Espagne fut celui qui porte le numéro 2 dans la Biblio- graphie, dont la première mention se trouve dans le livre de Nicolas Antonio) ; p. CLXXIV, au lieu de Gaguieçan, 3 lire Gaguiçan ; p. CLXXVI, 466 et non 500 ; p. CLXXIX, 1. 8, il faut lire « the other the last tvvo letters of the first line, il. » et I. 26 « scoflingly » A la page 140, l’original porte daguiçun où le n ne paraît pas avoir aucune raison d’être. Ce livre est le premier (1) Cette réimpression est faite avec bonne volonté et avec soin, malheureusement elle est imprimée avec des têtes de clous sur du papier à chandelles. Il faut néanmoins savoir à M. E.-S. Dodgson un très^grand gré de cette réimpression. J. V.