Page:Revue de l'Orient, de l'Algérie et des colonies, Tome 3, 1848.djvu/330

Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 327 —

ce que nous avons voulu juger, ce sont les actes mêmes. Nous croyons que ces actes seront impuissants, qu’ils tourneront contre l’œuvre patriotique et surtout humaine que le gouvernement et la France entière ont en vue d’accomplir : nous avons le ferme espoir qu’ils seront, s’il en est temps encore, utilement amendés par l’assemblée nationale.

Ce que nous voulons tous, répétons-le en terminant, au même degré, sinon aux mêmes conditions, c’est que l’esclavage soit à jamais banni du territoire français.

Ch. Lavollée.