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Mademoiselle de Marsan.

NOUVELLE EXTRAITE DES MÉMOIRES DE MAXIME ODIN.

morsème émisone, — LA TORRE MALADETTA, ov LA FAMINE.

Depuis l'acquisition que le docteur avait faite de la Torre Ma. ladetta ; elle était occupée par un de ses régisseurs que j'avais vu à Trieste, homme petit de taille et de capacité, fort claudicant de la jambe droite et du jugement, singulièrement exagéré en doc- trines politiques (c’est le propre des sots ), extraordinairemént mé- ticuleux en exécution, mais plus retors dans les affaires d'intérêt qu'on n’aurait pu l’attendre de son intelligence. Je n'aurai guère d'occasion d'en parler, et il suffira de savoir qu'il s'appelait Bar- tolotti.

À notre arrivée, M. Bartoloiti n’était point au château. La peur l'en avait délogé depuis trois jours.

— La peur, signora Barbarina, dit Solbioski à la vieille et ina- movible concièrge, en apprenant cette nouvelle de sa bouche ;.la peur, dites-vous! Et quelle peur peut-on éprouver à la Torre Ma- ladetta, si ce n’est celle d'être un jour écrasé dans sa chute? Mais elle dure depuis si long-temps, menaçant de tomber tou- jours, et'tant de générations sont couchées à ses pieds, qu'il faut espérer qu'elle restera debout au moins aussi lopg-temps que nous.

— Ce n’est pas tout-à-fait cela, répondit la vieïlle après nous �