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LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE.
MŒURS ANGLAISES
DES CLUBS DE LONDRES
Ne voir les Anglais que dans quelques salons aristrocratiques et dans leur intérieur, en présence des femmes, ce serait s’exposer à juger le caractère anglais sous son rapport le moins avantageux, ou, si l’on veut, le moins original. C’est dans leurs clubs, c’est dans leurs réunions d’hommes que les Anglais se vantent d’être eux-mêmes, avec toute la franchise de leurs formes et leur langage. Lorsque, dans sa Correspondance, Grimm, ce baron allemand, devenu à Paris plus Français qu’un Français même, se plaint de l’irruption de l’anglomanie en France, à la fin du dernier siècle, il cite surtout la fâcheuse introduction des clubs, et par suite, la désertion de la société des femmes. Le plus ou moins