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des temps meilleurs, il a deux choses à faire : abjurer ses injustices et humilier son orgueil. Il s’est perdu par la fausseté de ses jugements et l’enivrement de ses prospérités. Le jour où il abolira le paradoxe dans l’histoire et la vanité dans le talent, ses malheurs ne seront peut-être pas finis, mais il aura du moins le mérite de les ennoblir et le droit de les réparer.


ARMAND DE PONTMARTIN.