Page:Revoil - Les Exiles.djvu/321

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ce projet ou plutôt ce rêve, n’a pas eu de suite : tout ce qui nous en est resté, c’est la belle scène entre le Juste et l’Injuste, traduite, ou du moins très-fidèlement imitée d’Aristophane. Nous la livrons au public ; osons-nous trop espérer en pensant que malgré les défauts de notre version, on y découvrira quelque trace des beautés de l’original ?