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une foule de morce aux étisirs sur les sujets variés Qui viennent lun après l’autre étiranter un cœur ou une imagination de femme. El coté de la grace heureuse, d la vraie poésie, du crisj. ontan des épiotions et de la nouve tristesse qui nont jamais manqué aux vers de Madame Valmore. on trouve dans ce recueil une pensée encore plus ferme et un art incore je lus expeir.

Parmi les monuments et les éligies de cette vicil en est qui font riner, soupirer, sattrister, sisonnes peut-être… On en regretterait sans dont labsence ; du moins les esprits sérieusement sym sathiques, mais le pablic bunal et distrait naime jas quon lui en dise trop.

Madame Valmore était sendrement au mie et honorée de tous cenx qui l’approchaient à quelque titre que ce fût. On oubliait son dalent, se ripus tation sa place horsligne pour jour de se hontii népuisable, d. son esprit charmant, de sagrâce et et ses saillies.

Involontairement en partant de l’auteure à propos de Mme Valmore, on est ramné à la dierroime, et cest à la fois un condice et un éloge Dans les littirature, en effet, il y er cteuse classes