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es jugements portes sur le valent de Maderne Des bordes Valniore ont étéfort nombreuse et Brigenne la appelée : sall. âme u fart olivers tmlère dor. La martine lui écrivait : La fortune, je lespère rongira dte son injustice, et vous accorderà un sors indépendant et digne de vous, il ne faut jamais désespérer de la Providence, Quand elle nous a marqué auhercecu pour un et ses dons les plus signales, et quand on sait cdinme vous ladjurée dans une langue élivine. Samte Benne fairait d. son talent le plus grand cas Scherer-secritique scoice la compare à unede les fleurs des clamps un jeu jales mais dont le parfum e douze et pénitiant et et qu son charme peus moins. Monsieur Mont fut dans la Thevrie des deux mondes, lui reprd che la faiblesse et la forme et lincorrection, mais le jugement qui un dire d ceuxe qui lont comme rend le mieux la personnalité de Madame Desbordes Valmore sort de la jlume dune femme paëte eome elle Madame Caroline Olivier ; il a paru dans la Revue suisse. Août 1860 Un livre sensible et charmant vient et paraître saus ce titre : Paisies inédites de Madame Desbordes Valmore. Il renferme