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Una dernière join étent réservé à la malade, un cervodtae hier et fugitif sourire vint agita ses livres quanet ett affont que les paisies que ll. faissait recueillies par lamitié étaient distinus à voir l. jour denx la vill. où ses anaitres avaient seouns une pos. tion et un rfuge ; mais à le propos pour qua ne chrions ce que nous écrivait le pieux fils et Madame Desbordes Valmore

« 14 mars 1859. Je ne pais vous dire ici combien ma mère est touchée, an milieu des souffrances les plus vrais et et l’oubli insiparable et une lonque maladie et d’une sumble escistence étc savoir que son livre va dlevoir de paraître non à une spéculation et liferairie mais à la boienresttante initiative dem amsi dtes lettres. S. en persnadée qu’elle demeure de la valeur de l’ouurage en lui-même, il lui est douzé de sentir siveiller des sympathies aussi Lonorables pour des poésies qui sont moins les pro¬ ductions d. lesprit et de Part que des rivilations de son cœeur. Chass. je suit clargé de sa part d nous enprimer sa vine gratitude, à laquelle nous me permettrez de joindre celte et mon jère lesr pour moi un heureux et la pe