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chanme dun caraciter conctite t les outi les plus solens. Jespère que Dieu le hrémisa toujours. Elle lui écrivait :

4 21 octobre 1820, dt Brasselles. Hier mardh d siore à reçn la lettre et le dessin quelle edritesan mon cher fils, il t’en remercie et partage ainsi que toi son actoration pour tichel. Et ige. De ce monde renferme dtehonheur quandt on pos secle en soi se sens le plus humbse et la plus grand son ensemble l’admiration. Il console et toutre les minères et étonne des ailes à la pauvreté « 26 octobire 1820. de compdais travaillerici dans la solituote, mais elle ressemble à celle où je voudrais m’enfermer à Paris. Les satins entrent par la serrure. Je suis tren contente d’avoir ici ton polume sur l’Elle¬ magne. Chaque ligne de Madoe de Stac est une lamière qui ponitre mon, gnorance et admisation et voujours d’attendrissement Quel génie ! mais quelle ame !… Quel bonheur de croire à notre immortalité, pour la voir aussi comme je lei revu une fois. Dn ausi aôté, jl en jeles, plus je penitre sous les ores Sur nous cachaient nos granchs, gloires, et moin jose écrir ; je sens frappé éte crainte, cdmme suisant mis cu soléis