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jour, tristen son imprissance à rounv suit qui argent quelle ent voulu pouvoir envoyer à licile, sa somsaise la survivante, elle lui écrivait :

9 novembre 1854… Ses dois savoir dejuis long temps qu’il ny a gaire que les malheureuse qui se decourent entre eux.Va c’est hienureu. Sans âto plus méchants que nous, les riches ne peuvent alei lament pas comprendre que lon nait pas toujours assez pour les lusoins les p lus sembles de la vie. Le parlons par des riches se non pour être contente et ne pas les sentir souffrir comme nous. Avent. hier dons la nuit, jai eu le bonheur de rovire à toi et de sulirasser avec une effesion damter et déjoie si vive que je m’en suis réveillée. Lous allions au-clevant lune et l’autre les liraes ouv su portais un bauchèle et laine à jalmis d je portais le pareil en vraie sœeur – It élas non étions bien contentes de nous regarater et dte nous serrer les mains. Le bon rene résume ce qui j’oi senti bien des fois dans la cré, quil ngarien de comparable, m ote pareil à une amitiéde sœeur.

Un denier coup a frappé Madame Desbordes Valmore elle a perdu Cécile. Elle écrit à sa nièce Camille. 3 janvier 1855. Me voilà donc sans frère ni sœurs, toute seule des chères amis que j’ai