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sar notre famille &t nos chers pero et mu de vous ai tous quittés si jeuner, que je sais peut-être moins ju vous dte notre origine. Pont ce qui est aussi grand dans ma prémoire, cest que nous avons sti bien heureux et bien malheureux, et qu’il y avait pour nous bien des soleil à Sin Coillage pes de Dou on la foulle altait les dimanches et jours de fit) bien du fleurs dans les fertifications : un bien boi père dans notre jauc maison, une nière bien bielle, bien venetre et bien pleure au milieu de nous.

8 mars 1847. Juvois, mon arin, qui je técrisseul.ment aujourd’hui pour se dire d’attendre, et je n’ai pas voulir rétardter ma lettre jusqu’au mement ou je pourzai y jomètre un envoi ét argent. De veuve aueint Font separgner l’inquiétudte quin s. Pence slus lonte causerait, sachant bien jac Ton cœeur sen rapparte au mien de l’empressement que je Mettrais à partager avec toi le premier raydi bien faisant que la vierge menverra, le dernier de me nayement ma tout pris. P’est fièrement doulou reux dinterrompre amssi les seules douceurs consolantes de la vie. »

2 avril 1847.. La bonne lettre une Tisean au sn lieu de nouvelles il vives afflictions. Et j’eme avait je été frappée et la perte foudroyante de M. Martin du Nord que je suis saisie de douleur par celle