Page:Revilliod - Madame Desbordes-Valmore.pdf/21

Cette page n’a pas encore été corrigée

de L’anon, avait à grand peine ére ses sixe enfants, et vénérable mère, conservait sur une une grande autorité. Il y eut dans son jetit logir de la rue et la lure d’Er, comme un consail de famille ; un et ses fils donna lecture à lante noie et la lettre des riches parents d’ilniverdein dans cette lettre ils en primaient leur penséitiien arrêtée et laisser tous leurs biens aux Des liorais dt Donas ; mais ils y mettaient une condition. citair que la mière de famille et toute sa descen dance rentréraient au sein de la reliz ou reformée. La dibbiration ne fut pas longué ; la meille mère prit la parole et dit : que la fortue des parents et Hollande était magni fiqué sans doute mais qu’elle ne valent pas le prise suils y mettaient.

Marceline à laissé quiljuer ligner lesquelles doirnet la pénnstan dt cette saine imdivante un des profonds sormenis de son enfance. Elle y mnontre ses parents assistent à la lecture de la cettre : esta mère sevandent ; mon père regarde ses enfants et sort stans une torrible anseiite Il rentre ; après quilque pas dans le cimetière et lon décide que lon répondra : Lon ln peut facilement sa figurer quelle fut la d tresse des parents de Marceline, eans ou