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à Donai, sou dam la mus. afflige lur déporeu

Ô fleur du sol natal ! à vérature sauveige.
Parquelle main cachée arrivertu vers moi
mon jage ; quelle âme aimanté à Tou rivage

et compris quune fleur me parlerait de foit

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vol natal ! sol natal ! Dans la sucue lalemis

sans ves parfais la vie à comme un autre goût seis toutes cer poeses appartiennent à une autre pogué de la vie de Madame Des bordes Valmo pent éten aurions nous étes les réserver ; neintie. dions pas. In voit quil souvenir rif, profond, toujours présent elle eevait édincrée des tiense ou sésart confé son enfance ; elle a fait dans le cont. des petits flamanets, lequel fsi une des cription de la maison jaternelle, que nom ne résistons pas à reprdetence claprès son troi graphe au plutol et après elle-même.

Nous sommes en 1788 (deux ans après la naissance de Marceline), devant nous, qui vendoi de la jlace danner de Douai soiure Largement à lesr, lai rue dotre Dame. Sur le rang de droite, au et sous de la porte et une vieille hob Perie, une enseigne aus vies couleurs attire not