Page:Reverdy - Etoiles peintes.djvu/34

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Le pavé glissant ne supportait plus aucune audace et pourtant c’était en pleine ville, en pleine nuit — le ciel se rattachant à la terre aux maisons du faubourg.

Les passants avaient escaladé un autre monde qu’ils regardaient en souriant. Mais on ne savait pas s’ils resteraient plus longtemps là ou s’ils iraient tomber enfin dans l’autre sens de la ruelle.