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un changement dans sa vie avant que six semaines se soient écoulées. De fait, M. Hanski mourut dans ce laps de temps. Et toujours les théories mystiques ou religieuses faisaient sur lui une grande impression.
Mais étant et voulant être avant tout un minutieux observateur des hommes, et leur historien, il ne se permettait pas de vagabonder à travers des régions qui auraient pu n’être pas vraies. Tout au plus, si un sujet fantastique le retenait trop, s’en servait -il, mais pour l’appliquer ou en appliquer les conséquences ou la morale à l’homme. C’est pour cela qu’il n’appelle jamais les nouvelles où le merveilleux joue un grand rôle « contes fantastiques », mais seulement « études philosophiques ».
Les premières (i) influences qui ont beaucoup inspiré Balzac semblent être les romans fantastiques de l’école anglaise de M me RadclifTe, de « Monk » Lewis et de Maturin. Ses « œuvres de jeunesse », (1) Voirpour toutes ces œuvres de jeunesse, l’excellent chapitre de M. André Le Breton sur « les origines du roman balzacien » dans : Bahac, l’Homme et l’Œuvre, Colin, 10,05, pp. 57-73.
