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intérieur à son con, me darda sa langue, et se pâma, en me lançant toute son âme… Je déchargeai avec un si délicieux frémissement, qu’elle foutait encore au bout de cinq minutes d’émission. « Ah ! fouterie adorée, l’éclair du bonheur dure… et se… prolonge avec toi !… » Je sentis, en cet instant, l’émotion de mes premières décharges, où je perdais connaissance, et je crus que j’allais expirer de volupté dans son con. Je le dis, en déchargeant. Mon enconnée n’en frétilla que plus vivement : « Un fils ?… Une fille ?… ou tous deux au fond de mon con, me disait-elle, cher vit de mon père !… » Je jurais, je sacrais, je divinisais ma fille : « Con céleste… Con divin… Con de mon vit… Est-ce moi ?… Est-ce un roi ?… Est-ce un prince ?… Est-ce le beau commis aux aides, qui t’avons foutue dans le con de ta putain de mère ?… Ah ! mon vit te rend ma fille, en mêlant mon foutre au tien… Divine, sacrée garce… Adorable bougresse enculée, il faut que je t’encule aussi ! — Non : ton foutre m’est trop précieux pour que je le perde sciemment : Fous-moi en con, tant que tu le voudras, mais non en cul, en bouche ou en tétons. » Je l’approuvai avec respect.

Je lui dis ensuite pourquoi je la suivais toujours, en la menant chez son amie ou en la ramenant : « Mon premier motif est de mieux voir le danger. Le second, d’entendre les discours des hommes et des jeunes gens que tu fais bander. L’un dit : « Quel mouvement de cul ! O garce ! si nous étions seuls ici, je me jetterais sur toi et je t’enconnerais… — Je l’ai entendu, me dit en souriant Mme Poilsoyeux. —