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émis délicieusement, et ma fouteuse déchargea plus délicieusement encore. « Ah ! quelle nuit, me dit-elle… Timori ne me l’aurait pas donnée si voluptueuse !… » Elle s’ablua : je lavai et nous endormîmes.

Chapitre XXIII. De la tendresse filiale ; amour paternel

Être réservée, modeste, ou voluptueuse et fouteuse à propos, c’est la véritable sagesse.

Je ne raconte pas les bagatelles, Montencon ne put le remettre à Mme Poilsoyeux, et il en fut très étonné ! Elle était aussi modeste, aussi retenue avec lui, qu’avant qu’il l’eût foutue. C’est qu’elle suivait mon avis, de ne pas laisser prendre un pied sur elle, pour les faveurs accordées, ou ravies. Un jour qu’elle se baissait, pour arranger le feu, il lui prit le con. Elle lui donna un soufflet. Je dis à Montencon : « Moi qui la connais, je ne lui touche jamais les fesses, ou le poil du conin, sans sa permission, et sans qu’elle m’ait dit : « Eh bien ! faites donc vite ! » Quand je lui demande cette faveur, elle est parée, chaussée comme les Grâces. Je commence par lui demander à lui baiser le pied. Puis, lui glissant la main sur la jambe, je lui dis : « Tu l’as si jolie ! Que je la baise !… » Je pousse à la cuisse, en disant : « Quel satin ! » Je lui passe délicatement la main sur la motte, et je m’écrie : « Ma reine ! qu’en te voyant marcher dans la rue, et