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n’en puis plus !… » Et en finissant, elle alla se laver le con.

Dès qu’elle fut de retour, je remontai sur elle. « Remue du cul, du con, lui dis-je. Trémousse des fesses. Je sens ton pinçoir… Oh ! que tu fous bien, fille de mon vit, pour une novice !… Ayez un mouvement encore plus rapide… Bon… excellent !… Quels reins élastiques !… » Elle fit trois soubresauts et déchargea en disant : « O mon Dieu ! Mettez une tonne de foutre dans les couilles de mon père, et que son vit divin le décharge au fond de mon con ! » Dieu l’exauça, car j’émis aussitôt, et nos foutres se mêlèrent. J’en espérai un Adonis… Elle resta ensuite immobile, et moi aussi. Elle fit une copieuse ablution. Je me rafraîchis le vit et les couilles, puis nous nous recouchâmes. Je la réenconnai.