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procura une autre d’eau, et réserva le vin pour griser Montencon lui-même. Mais le Ribaud était inenivrable, autrement que par les beaux yeux et les autres charmes de ma voluptueuse Conquette Ingénue.

Chapitre XX. Ah ! comme elle fut foutue !

Dès que Mme Poilsoyeux, qui affectait une ivresse aimable, parut dans l’état où le Montencon la désirait, je la saisis, la première fois qu’elle se leva, par la taille d’une main, et de l’autre je lui pris le con. (Outre que je désirais vivement sa possession, je la voulais enhardir, et préparer son bijou à l’admission d’un plus gros membre que le mien), Je la renversai, en demandant un morceau de beurre frais resté sur la table. Je lui en mis gros comme une noix à l’orifice, et je poussai. « Laissez, laissez-moi donc ! » me disait-elle doucement. Cependant elle remuait admirablement de la charnière, et le foutoir craquait sous nous. Je déchargeai, en me récriant de plaisir !… « A toi, bougre. »

Montencon debout, son gros vit bandant à la main, nous admirait ! J’eus à peine déconné, qu’il se précipita sur ma fille, dont le conin oscillait encore, et doublement favorisé par mon foutre et par le beurre frais, il pénétra. Conquette fit un cri ! Je m’avançai alarmé. Mais elle me sourit aussitôt. « Enfonces-tu ? dis-je au fouteur. — Oui, oui ! sacredieu ! me répondit-il, et avec délices !…