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vite, que je l’encule ! » Le cul de Connillette était bien plus étroit que son con ; le moine haletait. Il en vint cependant à bout, car il dit à Vitnègre : « Je n’ai fait qu’un trou des deux ! » Et il déchargea horriblement…

Ma fille, épouvantée, m’étreignait par le milieu du corps. Vitnègre pleurait : « Ma pauvre femme, je t’ai livrée à ton bourreau… — Ne te l’ai-je pas payée ? dit le moine. Elle est bien à moi… Ainsi, va te coucher, et fous tes soixante mille livres : tu me gênes. Pour moi, pendant qu’elle est encore chaude, je vas, pour mon argent, foutre cinq à six fois le cul et le con de ma putain ! » Vitnègre alla se coucher dans un petit cabinet, où il s’enferma.

Aussitôt, Foutamort s’acharna inépuisablement sur sa victime expirée… Enfin épuisé, il alla chercher la lumière, pour en repaître ses cruels regards… J’ai dit que la fille était jolie. « Elle est belle encore, dit le monstre. Mais la figure de la putain est toute bouleversée ; elle ne se ressemble plus à elle-même… » Il lui regarda le con, en lui soulevant le cul… il la laissa retomber, en éclatant de rire : « Ma foi, la gueuse n’a plus qu’un cul, ou qu’un con… je ne sais lequel… Mais, est-elle bien morte ?… » Il la déshabilla, l’emporta nue dans l’autre pièce, la mit sur une grande table, alla prendre un vaste saladier, tira un bistouri… (Nous le voyions par la cloison vitrée). « Décharnons-la. » Il lui cerna la partie charnue des seins, la motte tout entière, la chair des cuisses, lui fendit le ventre, lui arracha le cœur, les poumons, le foie, la vessie, la matrice, la retourna, lui enleva la chair des fesses, lui coupa les pieds chaussés, qu’il mit dans une poche, les mains, qu’il serra dans l’autre. Il la retourna encore, lui coupa la