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lui, il me laissa reposer.

« Après un court sommeil, je m’éveillai couchée sur le ventre, ayant sur moi un homme, qui s’efforçait de m’introduire dans le fondement un fort gros membre. Mais quoiqu’il n’eût aucun égard à mes soupirs douloureux, il ne put jamais s’ouvrir le passage par la rosette de mon anus (ce fut son expression, prononcée très bas à quelqu’un). J’entendis ensuite, dans cette pièce-ci : « Il faudrait qu’un v… moins gros que le mien me la fraye. Voyons, toi ?… Trop gros, de beaucoup !… » Je n’y comprenais rien. Je m’endormis et ne m’éveillai plus.

« Le lendemain, dans la journée, Vitnègre, m’ayant beurré la rosette, et plongé son membre dans l’huile d’olive, me fit coucher sur le ventre et retrousser. Il se mit sur moi, en disant : « Il faut que j’en tâte, de ce ragoût de bougre ! » Je lui représentai qu’il m’avait essayée toute la nuit. « Ça va jusqu’à toi, me répondit-il, et ça te passe… Ah ! que d’argent me vaudraient ces deux bijoux-là, s’ils étaient connus ! » Il fit tous ses efforts, me martyrisa deux heures durant sans succès, et finit, parce qu’une copieuse déch.. ge lui ôta sa roideur et ses forces.

« Le troisième soir, il répéta encore tout ce qu’il m’avait fait. A mon réveil, dans mon premier somme, je me trouvai sur le