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J’ai remué du cul ! je lui ai donné du plaisirAh ! vous me connaissez ?… » Ça fait, il m’a présenté à laver, m’a fait lui verser de l’eau sur le vit, m’a essuyé con et cul, m’a baisé la motte et les fesses, puis a dit à sa femme de charge : « Le dîner est-il prêt ? — Dans un demi-quart d’heure. — Après le verre d’Alicante, descendons, ma belle ! » Nous sommes descendus chez le notaire voisin. Six mille francs par an, cinq cents francs par moi, d’avanceJ’ai signé la minute, et je suis remontée dotée, comme j’étais descendue foutue. Nous avons dîné tête à tête. Dès que les domestiques ont été retirés, il m’a fait mettre à nu mes tétons, puis il m’a enivrée de champagne. Il s’est lavé le vit dans un verre mousseux. Je l’ai aussitôt avaléEnchanté de ce trait, il m’a mis son vit sur les lèvres. Je le lui ai embouché, sucé ! Il s’est récrié de plaisir, en me disant : « Tu es ma déesse, la putain faite pour moi. Je ne veux pas te décharger en bouche : je veux garder mon foutre pour ton con. Montre-le-moi, que je le baise, et adieu jusqu’à demainMon carrosse ! » a-t-il dit à sa femme de charge, qui m’épongeait le cul et le con. Il m’a ramenée.