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avec elle, sans que je m’en mêle. Quant à la volupté, et aux mouvements du cul ou des reins, un mari libertin ne lui a donné que de trop douloureuses leçons… Mais en vous la livrant, je veux que son sort soit assuré, qu’il s’améliore même un peu chaque année… Je vous réponds d’être alors le gardien de sa fidélité. D’ailleurs, elle est sage. L’assurance d’un sort indépendant de son monstre de mari peut seule la déterminer. » Ceci convint fort, et la décision définitive fut remise après un voyage d’affaires et d’argent, dont il devait être de retour dans huit ou dix jours.

Je revins apporter ces nouvelles à ma Conquette Ingénue. « Mon papa, répondit-elle, pour peu qu’il me foute, vous me suffirez vous et lui ; vous serez mes deux pères. Je renoncerai même à votre beau secrétaire, si vous me promettez de n’enconner que moi ! Où trouverez-vous un con qui vaille le mien ?… Garde-moi tout ton foutre, comme tout ton cœur, ô le plus ribaud des papas ! ». Je vis qu’elle était jalouse, et je l’en aimai davantage. Mais j’étais encore trop libertin pour me borner à foutre uniquement celle que j’aimais le mieux.

La Brideconin nous