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c’est encore vous qui me foutez quand il me l’enfonce… J’ai cependant eu des remords de ma dureté. Je lui ai saisi le vit, et me le mettant dans la bouche, bien décalotté, je l’y ai fait décharger, avalant son foutre avec délices. Ce qui m’a fortifiée. Mon chocolat m’a rincé la bouche… Mais revenons. Si vous voulez que votre fille chérie ait un plaisir ineffable, caressez-la, quand on la fout. Langue en bouche, la sienne dans la vôtre… Vous prenant les couillettes, vous serrant le vit à poignée, elle déchargerait au double ! — Oh ! tu es trop adorable… Foutons un petit coup ! — Je m’étais rafraîchi le con, mais tu y remets le feu, cher papa, et le foutre seul peut l’éteindre… Foutons !… Enconne ta fille !… Mais va doucement, que je décharge plusieurs fois, tout en te racontant quelque chose. »

Elle se renversa, me mit le vit dans son con, me fit entrer lentement, par de petits coups de cul insensibles. La fraîcheur de l’eau m’avait fait roidir, et retardait l’émission. Enfin, elle ne fut plus maîtresse de se