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tandis que Brisemotte et Cordaboyau maniaient, l’un le con, l’autre les tétons de sa femme… Mon récit faisait bander tous mes drôles comme des carmes, malgré les fatigues de la journée. Les belles, même celles enconnées par Vitnègre, étaient en rut. « Comme vous avez su les rendre aimables ! me dit Conquette, en me dardant sa langue. — Ah ! oui ! » ajouta Tendrelys, en me baisant de même… En cet instant Mme Brideconin était tiraillée par Brisemotte et Cordaboyau, qui tous deux la voulait enfiler à la fois. « Je n’ai qu’un chose, mes chers amis ! Si j’en avais deux, ils seraient bien à votre service, mais l’un après l’autre… » Elle fut empalée par tous deux, Cordaboyau en con, Brisemotte en cul. Brideconin s’écrie : « On enconne, on encule ma femme ! Moi, je fous celle-ci. » Et il renverse Rosemauve, qu’il empale. Traitdamour, le plus furieux des ribauds, saisit Conquette. Je crus qu’il l’allait enconner. Point ! Il se coucha sur le dos, la tira sur son vit, tenue par-dessous les bras par Connette et Minonne ; elle se baissait avec lenteur sur le vit bandant, dirigé par la main de Tendrelys, Conquette s’enculant ainsi elle-même par le seul poids de son beau corps. Lorsque le gros vit fut enfoncé jusqu’à