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elle prit vite son parti. « Puisque nos cons sont égaux, me dit-elle, en baisant Tendrelys sur la bouche, lui patinant le con, redépucelez-la, et que votre lieutenant me refoute, s’il en a la force. » Elle n’avait pas achevé la dernière syllabe qu’elle était enconnée. « Fous-la ! me cria-t-elle. Fous la garce ! » J’enfilai la jolie nymphe… Mais prête à décharger, Mlle Conquette Ingénue entra en fureur érotique, et je compris par là comment les héros de Sade, sur le point d’émettre, deviennent cruels. L’enconnée s’écriait : « Foutez-moi tous cette putain de Tendrelys !… Brisemotte ! ne fais qu’un trou de son cul et de son con !… » Elle déchargea, et un peu calmée, elle se mit à dire : « Pardon ! Pardon, ma petite sœur !… C’est le foutre… qui me portait à la tête, et me rendait cruelle !… Qu’on lui conserve son joli con… toujours pucel… pour les plaisirs de mon… papa-fouteur… C’est bien assez… du mien qui est… martyrisé !… Allons, pousse… fous… ne me ménage plus ! » dit-elle à son bourreau… Et elle se mit à coupde-culer plus fort que jamais. Ce qui fit réenconner Rosemauve et Connette, dont les culs étaient moins malades que celui de Minonne. Cette bonne sœur de Traitdamour vint me chatouiller les couilles, et j’émis.

Chapitre XLIII. Minonne et Connette jadis dépucelées. La vieille