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des enfants, en attendant leur liberté. Mme Guaé seule en procura trois, une Tétonnette, son amie d’étant fille, et deux sœurs, Bienouverte, grande blonde, avec Dardenbouche, aimable et vive brunette, très caressante, déchargeant comme quatre. Tétonnette était une de ces brunes à peau blanche, qui ont toujours une si belle gorge. Fysitère assura les douze cents francs de rente à ces trois filles, se chargea de leur ample entretien durant tout le temps de leur fécondité, les fit coucher au grand lit, et les dépucela huit fois chacune la première nuit. Il commença par Dardenbouche, la plus jeune. Elle était si amoureuse, bien que pucelle, qu’elle riposta, dès le premier coup de vit. Elle soutint les huit assauts de suite avec un courage héroïque… Fysitère prit ensuite Bienouverte. Elle fut plus modérée. Elle cria, quoique peu étroite, parce que, ne déchargeant pas d’abord, elle ne s’humectait que faiblement le conin. Elle était pucelle néanmoins. Malgré sa langueur, elle fut foutue huit fois, comme Dardenbouche. Fysitère aurait eu peur d’en mortifier une… Il prit ensuite la Tétonnette. Il l’enfila plus difficilement que Bienouverte, mais elle remua si délicieusement du cul, ses tétons étaient si appétissants, elle avait le conin si étroit, qu’elle donna autant de plaisir que Dardenbouche…

Après les vingt-quatre assauts, Fysitère laissa dormir. Le lendemain matin, trois valets de chambre entrèrent pour lui demander ses ordres. Il