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son bourrelet ; je m’en doutai aux gémissements de la pauvre martyre. Je le dis à Guaé, qui le désarçonna, et lui donna quelques soufflets. J’entendis qu’il lui disait bien bas : « Bougre ! Vas-tu m’estropier ma femme ? Ton bourrelet ! » Le fouteur le prit, et la foutue n’eut plus que du plaisir.

Je courus à ma marchande, que Towtenwit ne pouvait enconner, par maladresse. Je mis la tête sur l’oreiller et dis en soupirant : « Priez donc mon père de vous l’introduire !… » Guaé, qui me suivait doucement, vint faire l’intromission, et tout alla bien.

Chacune des trois belles fut foutue deux fois en con. Ensuite, comme de concert, les trois bougres retournèrent la médaille. Toutes trois avaient leur pucelage de cul. Ma marchande crut qu’on allait le lui mettre en levrette, mais les deux autres ne s’attendaient à rien. On leur perça le cul à toutes trois au même instant, et elles s’écrièrent, malgré la défense, toutes à la fois ; Doucette : « Oh ! le fondement ! » La religieuse : « Oh ! l’anus ! » La marchande : « Oh ! le trou du cul !… » On n’y fit pas attention… Heureusement ma sœur avait le cul large, elle souffrit moins. Quant à la religieuse, que Witplongeardow enculait sans bourrelet, elle avait une aune de vit dans les entrailles, et elle sentait celui de son enculeur lui chatouiller le nombril. Elle souffrait beaucoup de son farfouillage, car il retirait et réenfonçait brutalement. Elle n’eut de plaisir qu’à la décharge, par la douce chaleur du foutre, qui lui onctua le gros boyau. Ma marchande était la plus maltraitée par Towtenwit. Elle avait le trou du