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d’abord que je la foute habillée. » Il me porta sur le pied du lit, ôta ses culottes et nous laissa voir un corps velu comme celui d’un singe. Il me fit lui prendre son braquemart et me dit : « Introduis-moi cela dans le trou de ton con, et lève du cul comme il faut, à chaque fois que je pousserai. » Je m’enconnai. Aussitôt il poussa. Je fis un cri, car il me déchirait, étant plus gros que mon oncle et que tous les vits qui m’avaient foutue… « Ce n’est rien, me disait-il, je te déflore… je te dépucelle. Remue du cul. » Je remuais de mon mieux, tout en soupirant, et lui rendant en coups de cul tous ses coups de vit. Il parvint au fond. Mes trompes lui pincèrent la tête du gland. Il hurla de volupté : « Garce adorable ! s’écriait-il, ton con satiné pince le vit ! Ta fortune est faite ainsi que celle de ton père et du futur qui t’ont vendue à moi !… Allons, fous bien !… » Je remuai, je tortillai du cul, je soubresautai, de la manière dont me le disaient mon père et Guaé lui-même. « Je suis ravi ! s’écriait le basané. Elle décharge !… Ah ! elle me fera un petit bougre à queue !… » Il dit à mon futur : « Viens là ! jean-foutre : passe-moi la main sous le croupion et chatouille-moi d’une main ce que tu y trouveras et les couilles de l’autre. » Guaé obéit. J’ai su depuis qu’au croupion le basané avait une queue, de la même forme qu’un vit, mais velue comme son corps, et que ce fut cette queue que mon futur chatouilla… « Je ne quitte pas d’une heure ce con céleste ! disait l’homme à queue en me saccadant : chatouille, chatouille, bougre ! les couilles et ma queue ! » Il déchargea six fois, sans déconner… Je demandai alors à laver. Mon futur m’épongea le con, et me le baisa, en l’appelant con d’or. Mon père me suça les tétons. Guaé dit au basané : « Elle est à vous, mais je bande comme un carme : permettez que je l’encule ? —