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Honh !… » Il se pâma presque… Pendant l’interruption forcée, j’allai prendre mon père à sa cachette : « Fous-moi, lui dis-je, puisqu’il le faut pour le bonheur de mon cher prétendu ! — Ah ! déesse ! s’écria Guaé, en se précipitant à genoux, tu incestues pour moi ! Je t’adorerai toute ma vie… » Il intromit le vit paternel : « Remue du cul ! me criait-il, saccade ! — Je dé… cha… arge… lui dis-je. Viens, cher ami… que je te branle ! » Guaé blasphémait de plaisir, en sentant venir le foutre… Il m’emboucha sans que mon père me quittât, et en même temps, j’avalais du foutre, j’en reçus dans le con, et j’en donnai. Mon père me foutit quatre coups, et Guaé m’avait embouchée quatre fois, quand on frappa. Guaé courut ouvrir, tandis que je me rinçais bouche et con. C’était mon oncle. « Vous arrivez à point, lui dit-il. On essaie ma future, et vous allez l’essayer. » Mon père expliqua la chose. Guaé me renversa sur le foutoir, et mon oncle m’enconna. Il me foutit six coups ; je tétai six nouvelles fois le vit de Guaé ; après quoi on me laissa respirer. Il fut ensuite convenu que douze fouteurs me passeraient sur le corps le jour de mon mariage, en con ou en cul, à mon choix, et que Guaé, qui seul aurait la bouche me ferait foutre la nuit, et dans l’obscurité, par trois vits nouveaux de son choix. Mon oncle, émerveillé, s’écria : « Mais elle sera putain ! — C’est ce qu’il me faut, pour que je l’adore…