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vivement, en dardant sa langue, jusqu’à ce que je donnasse des symptômes de décharge. Ce qui arriva au bout d’un demi-quart d’heure. En me sentant prête à émettre, mon père me quitta, me mit gros comme une noix de beurre frais dans le bas de la fente du connôt, m’y inséra son vit, avec beaucoup de peine. Il saccada : je déchargeais, et j’avais tant de plaisir, que je le secondai malgré quelques douleurs. Heureusement, le vit de mon père n’était pas trop gros, mais il était long ; il me donna un plaisir complet, car il pénétra si avant qu’il me chatouilla le fond, et au moyen de ce que j’étais très étroite, il m’emplissait le con, comme si j’y avais eu un vit de mulet… Voilà comme je fus dépucelée.

Je priai mon père, pendant qu’il me lavait le con, de ne pas différer son consentement, que je ne voulais pas devoir à mon oncle, et je lui en dis la raison. « Il ne faut qu’il te le mette ! me répondit-il vivement. Le bougre a le vit trop gros, il t’élargirait ! Au lieu qu’après moi, ton futur, ou tout autre fouteur, te trouvera comme pucelle. » Je promis qu’il n’obtiendrait rien. « Des bagatelles, cependant, reprit mon père : branle-le, quand il te prendra le con. Tu pourrais même te laisser enculer, s’il était raisonnable pour s’en tenir là. — Comment fait-on ça ? — Je vais te le montrer. » Et il m’encula. J’eus du plaisir, car je déchargeai. Mon père me dit ensuite : « Quant à mon consentement, envoie-