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laver. « Mêlons nos trois foutres, lui disais-je en enfonçant, que ton con filial engouffre le vit paternel avec délices !… Remue du cul, adorable enfant ! Rends-moi tout le foutre que j’ai déchargé dans le con de ta mère… pour te faire !… Ah ! comme la garce remuait du cul, oscillait du con, le jour où je l’engrossai de toi ! Elle était chaussée, parée, un peu chiffonnée, et si chaude, qu’elle se mit sur moi et s’enconna. Pour m’exciter davantage, elle me disait en saccadant : « Pousse… Enfonce… mon con est frayé !… je viens d’être foutue par ce beau commis aux aides, dont tu es si jaloux… » Et elle saccadait… Pour moi… je foutis avec fureur… comme je te fous à présent… C’est moi qui t’ai engendrée, enfoutrée dans son con satiné… quoique tu ressembles à Louis XV, qui, dit-on, l’a aussi foutue… — Mon cher père… ô vit divin ! répondit Ingénue, oppressée de foutre et de tendresse, je sens… à mon insatiable conin… que je suis votre fille… Je le sens au plaisir… que me fait la céleste idée que mon… père me fout !… Décha… argeons ensemble, cher papa !… J’ai plus de… foutre avec toi, qu’avec tout autre !… Ah ! ah !… Fourgonne !… Fourgonne, vit-papa !… Le foutre… est long… à venir…