Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/128

Cette page n’a pas encore été corrigée

le vit. Cette fille, la plus chaude des garces, si madame Vitnègre ne l’eût pas surpassée, engloutit le vit en trois coups de cul sans intervalle. Cordaboyau déchargea en hurlant de volupté, Rosemauve l’étreignant avec une délicieuse fureur.

Cependant, ce que je voyais m’avait roidi, et j’enfonçais dans le con humide de ma déesse, qui, suffisamment limée, déchargea deux fois, avant que je l’humectasse de mon foutre paternel… Elle gigotait, criotait, soupirotait. « Ah ! s’écria Traitdamour, vous êtes le Dieu de son con, cher maître ! Il se fond en jus d’amour, quand vous le perforez ! Voyez comme elle en donne, l’adorable enfant !… Allons, céleste coquine, trémousse, trémousse ! Fous, divine garce ! Décharge !… »

Ce fut ensuite le tour de Brisemotte : Connette, pommadée, fut étendue sur le foutoir… Il enconna ma fille. La grosseur du vit et sa roideur lui arrachaient de sourds gémissements ; elle travaillait de toutes ses forces, mais le terrible engin avait encore plus de trois pouces pour toucher le fond. Tout à coup nous nous apercevons que le perfide Brisemotte veut inonder d’un torrent de sperme le conin qu’il martyrise. Nous ne pouvions