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s’écriant : « Oh ! pousse donc, mâtin ! O ! pousse donc, bougre ! Fends, pourfends le conichon de ta fille !… et mets-y une petite garce, que nous déflorerons un jour !… Gzée, gzée, mon étalon ! Fais-moi des cavales !… » Et le vieux décharné, par un phénomène, émit quelques gouttes d’un foutre clair, dans la bouche de Piochée, au moment où Adonis, forçant toutes les barricades, malgré les cris de sa fille, lui déchargeait au fond de son conin ensanglanté ! Le bélître en fut si glorieux, qu’il fit à Piochette mille écus de rentes et autant à Piochée, outre ce qu’elles avaient déjà. Son grand délice, pendant qu’il fait servir la bouche de la mère de con à son vit, qui ne décharge plus, est de voir piocher Piochette, non seulement par le vigoureux Adonis Pioché, qui pioche, soit en con, soit en cul, mais de faire alors enculer le père, qui fout sa fille, par le grand’père, qu’encule un laquais,