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laver, pendant que le père encule le jeune homme. D’autres fois, le frère encule sa sœur, tandis que le vieux bougre l’enconne… Voilà quelle est la vie que mène mon vieux confrère, et qu’il trouve délicieuse à son âge. La fille est délicate et jolie. Le garçon est beau. Le père est affreux. La fille est devenue grosse. Le financier croit, avec raison, que c’est du jeune frère. Il désire que ce soit une fille, espérant qu’elle sera jolie, comme tous les enfants incestueux. Car il faut savoir que ce joli garçon est fils d’un frère aîné, qui, devenu éperdument amoureux de sa mère, donna la courante à son père, en mettant de la manne dans son potage au lait du soir. Le père fut obligé de se lever souvent, et le fils, à chaque sortie, alla auprès de sa mère, qu’il enconna six fois au moins pendant la nuit… Voilà d’où provenait le beau garçon, ressemblance de sa mère avec une telle perfection, que vêtu des habits de la belle, qui n’est plus, on le prend pour elle. C’est en conséquence qu’un amant, piocheur de la mère, entretint le jeune homme sur le même pied de sa feue maîtresse, à condition que pour la jouissance, il prendrait les habits de sa mère, en porterait le nom, Mme Brouettevit ; qu’il ferait la