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un superbe). Laissez-moi d’abord vous lécher le conin, ma’m’selle ?… Mon maître vous enconnera, quand vous serez préparée. J’ai tout disposé pour lui donner aujourd’hui, ainsi qu’à vous, un plaisir de fermier-général. » Il la renversa brutalement et la gamahucha, en lui disant, comme s’il l’avait menacée : « Ne me résistez pas, car je vous ferais mal ! » Mais madame Poilsoyeux, comme toutes les femmes à grand tempérament, aimait, dans la fouterie et ses accessoires, une sorte de brutalité. Ainsi, en croyant la contraindre, il la servait admirablement… La belle commençait à décharger.

Tandis que je roidissais avec oscillation, à la vue du systole et du diastole des fesses et du con de ma fille, j’aperçus derrière un rideau de l’alcôve quelque chose qui remuait. J’allai voir. C’étaient Minonne et Connette, auxquelles deux garçons, amis de Traitdamour, excités par ce qu’ils voyaient, léchaient le con. Je leur fis entendre par signes de ne pas bruire, et je les encourageai d’un geste.

Cependant Traitdamour fellait ou suçait le conin de madame Poilsoyeux. Lorsqu’elle fut suffisamment en humeur, il se dérangea, me tira sur la belle et inséra mon vit bandant en ce conin rempucelé par sept jours de repos. « Qu’avez-vous à me donner à vous sucer ? » dit-il à l’enconnée. Elle lui présenta l’index de la main