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non seulement d’avoir pour mes filles deux des trois payeurs qui soldaient Vitnègre, mais encore de les faire précéder par la jolie chapelière de la rue Bordet, qui, vendue au plus douteux, devait m’instruire de la mortalité de tous les trois. Il était donc essentiel, pour éviter qu’elles ne fussent estropiées, de les faire prodigieusement élargir, en évitant néanmoins de les prodiguer à trop de déchargeurs en con. L’on verra comment je m’y prendrai pour cela.

On trouvera dans ce récit un épisode à chaque séance, tant pour varier la scène et reposer l’imagination, que pour raconter quelques aventures, que j’ai cru devoir supprimer au commencement. Chaque historiette lue ou racontée ne sortira pas du genre. Rien de plus déplacé, dans un ouvrage comme celui-ci, qu’une dissertation philosophique ; elle y devient insipide, et par là même dégoûte de la philosophie. Mon but moral, qui en vaut bien un autre, est de donner, à ceux qui ont le tempérament paresseux, un Erotikon épicé, qui les fasse servir convenablement une épouse qui n’est plus belle. C’est ce