que je considère aujourd’hui celle du Monsieur Nicolas
dévoilé. J’ai vu Sara^ pour la dernière fois, le
Samedi 13 Auguste de cette année 1785. (Je l’ai
encore vue le 3 Septembre suivant, etc.) Elle demeurait
ancienne rue de la Comédie-Française, maison
du faïencier, à côté d’une marchande de modes, dont
le mari est cet officier du Duc de Bourbon, amant
de M™ « Pocimon, ou la Jolie Mercière. Il y avait des
filles publiques dans cette maison avant Sara… Voyez
l’extrait à la fin de la Prévention.
XXVI. LA PRÉVENTION NATIONALE, action en cinq actes, adaptée à la scène ; avec les faits qui lui servent de hase ; trois Parties. J’ai tiré ce drame de la Malédiction paternelle. Je Tai composé de trois manières, et toutes trois sont imprimées. Je suis encore indécis sur le parti à prendre, de le faire jouer aux Italiens, ou de l’abandonner à son sort. Le grand Sautereau de Marsy, sous-feuilliste du Journal de Paris, a refusé de parler de cette production ; ainsi que le grand Aubert, auteur des sublimes Petites Affiches, et sous-fabuliste, en dépit de Phèdre et de La Fontaine. Mais les grands Royou-Geoffroy, successeurs secrets du grand Fréron, et par conséquent sous-feuillistes de l’Année littéraire, en ont parlé de la manière suivante (Prenez cet extrait, et celui de l’Abbé de Fontenay, à la fin du 42me Volume des Contemporaines). Mais il faut avouer ici, que l’extrait des Fréronistes n’est pas tel que je l’ai rapporté : indigné de voir ces malhonnêtes gens me calomnier, en me