534. 20 aug. 923-925 Monsieur Nicolas n.f.A.
rebellis ; 21, ce que fait Montlinot ; 22, je lui
donne un Nouvel-Abeillard : il promet de placer
Agnès[1] ; 23, je commence l’analise du Paysan-Paysane ; 24, Analise de la Découverte australe, je vais au Jalous-sans-amour ; 25, Analise de la
Dernière Avanture, V de la Prévencion nacionale,
d’Oribeau ; vu Desessarts ; 26, Analises Contemporaines, Hibou, Métamorfoses, Glossografe,
Tesmografe : été avec Agnès chés Montlinot
absent ; écrit à Poinot l’aînée, dans ma rue ;
27, 28, mémoire contre Augé ; 29, 30, 31,
mémoire ; été le soir chés la Poinot, qui n’a
pas ouvert. « Ma foi non ! Je suis couchée[2]. »
531. I Septembre. Je commence à écrire ces
Inscripcions[3] ; mémoire ; donné à Mercier 5 à 8
Graduées ; Nanci arrête ma Paysane, mais il est
réprimé ; 2, frais de mes ouvrages ; lettre
de… (sic)Mme Pat. et la Damourette[4].
- ↑ Agnès Augé, fille aînée de Restif, s’était enfuie de chez son mari pour éviter ses mauvais traitements.
- ↑ Elle avait été mariée à un nommé Maillot avec lequel elle ne faisait pas bon ménage. Un soir que Restif s’était introduit près d’elle, Maillot vint heurtera la porte : « — Qui est-ce ? dit timidement Rosalie. — Tolliam (Maillot), répondit-on. — Je suis couchée ; je ne reconnais pas cette voix-là. — Ouvrez toujours. — Ma foi, non. » L’on resta plus d’un quart d’heure à la porte, ce qui m’obligea à me cacher. Enfin, on quitta la porte. Rosalie regarda par la fenêtre. C’était son mari. Elle le rappela et me fit monter au grenier. » (Voir Monsieur Nicolas, t. XI, p. 133.)
- ↑ C’est le présent ouvrage.
- ↑ Rosalie Damourette, « petite marchande de tableaux, d’estampes, de miniatures… Elle allait à la découverte et me fournissait des sujets de Contemporaines, ou pour les Nuits de Paris. » (Calendrier.)
homme de qualité dont le titre primitif était la Requête du curé de Fontenoy. (V. Monsieur Nicolas, t. X, p. 117.)