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table des matières
un être social. — En quel sens le mal peut être une source du bien. — Définition plus exacte du premier mal.
Notion universelle du juste. — Le contrat. — La justice positive. — Antagonisme des droits naturel et positif. — Principes de la conservation et du progrès.
Illusion et erreurs de la justice. — Origine morale des empires. — Réaction de l’amour contre l’injustice. — Antagonisme de la justice et de l’amour. — Civilisations nées de principes divers. — Forme de l’injustice dans le système de l’autorité ; — dans le système de la liberté. — La raison d’État et la souveraineté du but.
Deux traditions : l’Église, les philosophes. — Les thèses morales de Kant — Les successeurs de Kant : Hegel. — Morale de Hegel. — Série historique de Hegel. — L’école saint-simonienne. — La théorie positiviste de l’histoire. — L’école phalanstérienne.
L’Idée d’une histoire universelle de Kant. — Examen critique de cette Idée. — Sa supériorité morale. — L’utopie universelle de H. Spencer. — Concordance entre les diverses utopies passionnelles. — Le millénarisme laïque. — L’idée de l’histoire au point de vue pessimiste. — Attitude de Schopenhauer à l’égard du panthéisme et de l’optimisme. — Le pessimisme de Schopenhauer.

DEUXIÈME PARTIE

CRITIQUE DE LA RELIGION ET DE LA MORALE AUX ÉPOQUES PRIMAIRES

Définition des temps non historiques. — Règles de la critique. — Des miracles. — Des révélations. — Du rôle des révélateurs. — Du fondement des dogmes religieux. — Du symbole, du mythe et de la légende.
Définition donnée par Kant ; sa correction. — La crainte comme élément des religions. — Définitions de Hegel et de Max Müller. — De l’humanisme. — Théorie de la religion de H. Spencer. — Définition de M. Réville.
Des hypothèses en matière de religion primitive. — L’homme primitif en présence de la nature. — La passion premier mobile de la religion. — La superstition et le culte des fétiches. — État moral et sacrifices correspondants. — Notions élémentaires d’une autre vie. — De la notion de Dieu comme cause absolue.
Rapport de la conscience religieuse à l’idée morale. — La religion